Exposition

Exposition de Jaume Plensa « Etre là »

Dans chacune des huit salles, une série emblématique de la production de Jaume Plensa accueille les visiteurs tandis que l’exposition offre une large part à sa production graphique.

Exposition de Jaume Plensa « Etre là »
du 09/11/2024 au 13/04/2025

4 Place des Ormeaux 26000 Valence Tél. 04 75 79 20 80

Payant

En une soixantaine d’oeuvres réunies dans un parcours non chronologique, l’exposition propose une déambulation libre entre la proposition imaginée pour Valence en 1994 et celle pensée pour la place des Ormeaux en 2024.

Afin de célébrer le trentième anniversaire de la Biennale « Un sculpteur. Une ville », pour laquelle Jaume Plensa avait été invité en 1994, un double événement est organisé par la ville de Valence: l’inauguration d’une oeuvre monumentale que l’artiste a conçue pour la place des Ormeaux, au coeur du centre historique, et l’exposition « Jaume Plensa. Être là » au musée de Valence – art et archéologie.

Artiste contemporain né à Barcelone en 1955, Jaume Plensa commence à exposer au début des années 1980: des volumes en tôle découpée et soudée, en fonte d’acier, puis des installations procédant de techniques de plus en plus variées. Des emprunts à la littérature et à la poésie, parfoisla sienne, viennent mêler le verbe et la citation à la matière sculptée ou dessinée. Dans les années 1990, la transparence du verre ou de la résine accompagnent la prise en compte nouvelle du corps humain et de son échelle. Une famille de silhouettes anonymes et méditatives peuple aujourd’hui l’univers de Jaume Plensa. Ses oeuvres sont présentes dans les villes du monde entier: Espagne, France, Angleterre, Corée, Allemagne, Japon, Canada, États-Unis.

Répondant à l’invitation renouvelée de la ville, le sculpteur et dessinateur de renommée internationale a conçu pour la place des Ormeaux, une sculpture de 4 mètres de hauteur en acier inoxydable. Composée de différents alphabets, lettres et symboles s’y entrelacent de manière aléatoire telle une dentelle de métal. Déployant le dessin d’une silhouette en position assise, elle évoque un corps humain autant qu’une communauté universelle.