Toyo c’est un tuyau de chantier, tout froid, tout raide, tout creux… quelle aubaine !
Coline la violoniste, fait chanter Toyo : toutes sortes de sons semblent sortir de lui… Gillou le contorsionniste apprivoise Toyo, ils s’adoptent immédiatement et comme Gillou est très, mais alors vraiment très souple, il se glisse à l’intérieur et s’y installe…
Toyo devient pour Gillou une carapace, un costume, un chapeau, une tour d’équilibriste !
Puis on entend le son du violon : Gillou tombe sous le charme de la mélodie, et voilà qu’avec Toyo ils s’échappent dans une danse mélancolique… Vraiment, ils s’aiment tous les deux…