En 1950, Édith Piaf rencontre Atahualpa Yupanqui lors d’une soirée chez Paul Éluard à Paris. Fascinée par ce poète et guitariste venu d’Argentine, elle lui offre la tête d’affiche de son concert à venir, lui ouvrant ainsi, sans le savoir, les portes du monde entier. C’est à cet ambassadeur des musiques traditionnelles d’Argentine, qu’il considère comme son père spirituel, que Amando Risueño rend hommage avec ce concert.
« La poésie de l’interprète embrasse celle du compositeur »
Guitare classique
« Le chant du vent, un moment de grâce unique »
Classique en Provence
« Une délicatesse époustouflante »
Nouveaux Espaces Latinos