Il y a cette ville, Coda, où la musique a disparu.
Dans cette cité qui ne dit ni temps ni lieu, ils apprivoisent ce qui les entoure . Dans cette atmosphère étrange, comme des entendants au royaume des sourds la musique leur apparaît et petit à petit le décor et la scénographie deviennent leur instrumentarium.
La musique s’entend autant qu’elle se voit et s’illustre aussi bien par des allégories que par des tableaux sonores, qui résonnent dans Coda.
A travers la disparition de la musique, Coda parle de la déshumanisation absurde dans nos quotidiens, avec légèreté et poésie.
Vidéo de présentation :